Critique de Sonic Riders (PS2) par Zap' le Simple
Les premiers écrans et autres papiers officiels semblaient alléchants. Surtout ce système original des couloirs d'air. Et puis SEGA c'est F-Zero GX, donc un C.V. pas dégueulasse pour un jeu de course. Et à 5 euros (XBOX, FNAC), l'occasion était trop belle pour passer à côté d'un hypothétique bon Sonic (enfin!).
Hop, la jolie introduction I.G visionnée, c'est partit pour le mode ""histoire"". On zappe en vitesse les cinématiques pour noeud noeud et près pour la bonne grosse orgie d'arcade sans prise de tête made in SEGA.
Arf, c'est à ce moment là qu'il y a eu une douche froide : maniabilité rigide et désagréable, impression d'aller n'importe où sans savoir pourquoi, soporifique (!!), laid (mais vraiment hein), inaudible etc. SEGA prouve avec Riders qu'il est capable de faire moins bien sur son propre terrain que Rare dans un mini-jeu ( Conker ). On a envie de tout sauf de persévérer. Un aller direct pour la Garbage Factory donc ? Pas forcément, NiGHTS et Ulala sont à débloquer.
Hop, la jolie introduction I.G visionnée, c'est partit pour le mode ""histoire"". On zappe en vitesse les cinématiques pour noeud noeud et près pour la bonne grosse orgie d'arcade sans prise de tête made in SEGA.
Arf, c'est à ce moment là qu'il y a eu une douche froide : maniabilité rigide et désagréable, impression d'aller n'importe où sans savoir pourquoi, soporifique (!!), laid (mais vraiment hein), inaudible etc. SEGA prouve avec Riders qu'il est capable de faire moins bien sur son propre terrain que Rare dans un mini-jeu ( Conker ). On a envie de tout sauf de persévérer. Un aller direct pour la Garbage Factory donc ? Pas forcément, NiGHTS et Ulala sont à débloquer.
NOTE :
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Rédigé par Zap' le Simple • 04.11.2006
Sonic Riders (PS2)