Oh yeah, avouez que ça faisait longtemps, un bon petit calembour sur Yuji Naka, l'ex-leader de la Sonic Team, canonisé au rang de Sage Sonicologique à la suite de son départ de Sega en 2006, sur lequel il est revenu maintes fois depuis - lisez simplement notre dossier SO reprenant une interview de 2008 sur le sujet. Quatre ans plus tard, de l'eau a coulé sous les ponts, Let's Tap est sorti (l'avez-vous acheté ?) et Ivy The Kiwi? ne s'est pas vendu assez bien aux yeux de son créateur, qui compte bien inverser la tendance en communiquant à tout va, à l'approche de la sortie européenne de ce platformer 2D pour Wii et DS, le 29 octobre prochain. En d'autres termes, Yuji-pas-Yugi compte sur vous, et comme dans le fond il a quelque chose en commun avec nous tous, c'est l'occasion pour lui d'évoquer une nouvelle fois le destin damné de la mascotte de Sega, avant d'attaquer les choses sérieuses et de juger Sonic 4 à sa juste valeur, d'ailleurs ced_ a déjà commencé. C'est parti pour l'opération séduction, et tenez-vous bien ça va être torride.
D'ailleurs, la première intervention que je retiendrai ici n'avait rien à voir avec Ivy The Kiwi : c'était dans le Nintendo Power du mois, et il était question des 25 ans de Super Mario Bros. Devinez quoi ? C'est une faiblesse de game design dans ce jeu, à savoir l'obligation de se retaper les premiers niveaux à chaque Game Over, qui a poussé Naka à tracer de plus en plus vite à chaque tentative, ce qui lui a inspiré le concept de base de Sonic. Sans déconner ! Il nous dit aussi qu'il compte sortir un jour son vieux projet Famicom, mais ça n'a probablement rien à voir avec le hérisson bleu. C'est plus pour vous mettre à l'aise. Là, c'est bon vous êtes en confiance, on va pouvoir aller au fond des choses à présent.
Donc, au moment de promouvoir Ivy The Kiwi, Naka a probablement deviné que déterrer des vieux dossiers, y'a rien de tel pour émoustiller les briscards que vous êtes. Ainsi, le 2 octobre dernier, Yu2 a confessé à l'Eurogamer Expo avoir eu le premier l'idée d'un crossover Mario & Sonic, et même avoir démarché Nintendo dans ce sens. C'est le moment de spéculer comme des bêtes : l'idée de Yuji prévoyait-elle de sortir un jeu tous les deux ans à l'occasion de chaque cérémonie olympique, ou bien était-elle plus ambitieuse, avant d'être revue à la baisse par Sega une fois Naka hors du navire ? La température augmente dans vos ciboulots et c'est normal : Yuji sait ce qui vous excite, il connaît jusqu'à vos moindre désirs et joue avec, affichant l'indolence narquoise d'un libertin mûrement initié. Tenez, le voilà qui, se mordant discrètement la lèvre inférieure, s'apprête à dégainer le gadget ultime du maharishi accompli : le devoir de réserve sur ce qu'est devenu Sonic.
C'est à dire que Naka s'abstiendra pudiquement de vider son sac sur ce qu'est devenu son enfant entre les mains du père adoptif Takashi Iizuka. Il vous a déjà fait le coup avant, pas vrai ? Eh ben encore une fois, vous ne saurez rien ! Sauf que son Sonic préféré est Sonic 1 (a t'il déclaré à l'Eurogamer Expo sus-évoquée). Oh oui ! Et qu'il est convaincu qu'il y a encore des choses à faire avec un Sonic en 2D ; il l'avait d'ailleurs déjà dit avant à Eurogamer dans un échange d'e-mails, et le répètera même à CVG, en précisant à chaque fois sa pleine et entière confiance en la Sonic Team qu'il a formé. Pour autant, Sonic 4 représente-il bel et bien les possibilités que semble entrevoir Naka pour un nouveau Sonic en 2D ? Il n'en dit rien mais c'est fait exprès, je vous vois déjà bouillir à l'évocation de ce fantasme défendu, qu'en magicien du plaisir Naka refroidit illico en rappelant que jamais, plus jamais il ne fera à nouveau un Sonic, même si Sega le lui demandait. Après tout, il est parti créer Prope pour élever la nouvelle génération de talents japonais, celle-là même qui lui a inspiré l'idée derrière Ivy The Kiwi. Et qui pourrait lui inspirer un Sonic-killer ! Une perspective à vous rendre fébriles, pantelants même, d'autant plus que Naka insiste à chaque occasion vouloir éviter de se reposer sur ses licences et créer des jeux d'action centrés sur leurs personnages principaux et un concept de gameplay simple, comme Ivy... et comme Sonic - cette fois-ci, Naka le dit clairement, à Critical Gamer mais aussi à Nintendo World Report, où il ajoute carrément qu'il a crée Ivy pour s'élever au niveau de Sonic et Nights. Alors là c'est l'extase, l'excitation est à son comble, comment pourrait-elle grimper plus haut ?
Peut-être en retwittant la vidéo d'un fangame Sonic ? Non faut pas déconner non plus, Naka twitte sur n'importe quel goodies estampillé Sonic. Et en plus ce fangame, honnêtement, il est pas un peu dégueu ? Ah mince, vous voilà tout raplapla d'un coup.
Mais hé, Naka ne refera plus jamais de Sonic, pas vrai ? Alors ne soyez pas rancuniers et allez lire quelques autres interviews pour tenter de vous convaincre d'adopter le charmant kiwi, chez Blue Hero Gaming par exemple. Parce que souvenez-vous : si vous répondez à l'appel du papa de Sonic, ce dernier saura se montrer reconnaissant et vous fera la Dreamcast 2 ! Rhaaah lovely ! décidément, Naka c'est plus fort que toi.
D'ailleurs, la première intervention que je retiendrai ici n'avait rien à voir avec Ivy The Kiwi : c'était dans le Nintendo Power du mois, et il était question des 25 ans de Super Mario Bros. Devinez quoi ? C'est une faiblesse de game design dans ce jeu, à savoir l'obligation de se retaper les premiers niveaux à chaque Game Over, qui a poussé Naka à tracer de plus en plus vite à chaque tentative, ce qui lui a inspiré le concept de base de Sonic. Sans déconner ! Il nous dit aussi qu'il compte sortir un jour son vieux projet Famicom, mais ça n'a probablement rien à voir avec le hérisson bleu. C'est plus pour vous mettre à l'aise. Là, c'est bon vous êtes en confiance, on va pouvoir aller au fond des choses à présent.
Donc, au moment de promouvoir Ivy The Kiwi, Naka a probablement deviné que déterrer des vieux dossiers, y'a rien de tel pour émoustiller les briscards que vous êtes. Ainsi, le 2 octobre dernier, Yu2 a confessé à l'Eurogamer Expo avoir eu le premier l'idée d'un crossover Mario & Sonic, et même avoir démarché Nintendo dans ce sens. C'est le moment de spéculer comme des bêtes : l'idée de Yuji prévoyait-elle de sortir un jeu tous les deux ans à l'occasion de chaque cérémonie olympique, ou bien était-elle plus ambitieuse, avant d'être revue à la baisse par Sega une fois Naka hors du navire ? La température augmente dans vos ciboulots et c'est normal : Yuji sait ce qui vous excite, il connaît jusqu'à vos moindre désirs et joue avec, affichant l'indolence narquoise d'un libertin mûrement initié. Tenez, le voilà qui, se mordant discrètement la lèvre inférieure, s'apprête à dégainer le gadget ultime du maharishi accompli : le devoir de réserve sur ce qu'est devenu Sonic.
C'est à dire que Naka s'abstiendra pudiquement de vider son sac sur ce qu'est devenu son enfant entre les mains du père adoptif Takashi Iizuka. Il vous a déjà fait le coup avant, pas vrai ? Eh ben encore une fois, vous ne saurez rien ! Sauf que son Sonic préféré est Sonic 1 (a t'il déclaré à l'Eurogamer Expo sus-évoquée). Oh oui ! Et qu'il est convaincu qu'il y a encore des choses à faire avec un Sonic en 2D ; il l'avait d'ailleurs déjà dit avant à Eurogamer dans un échange d'e-mails, et le répètera même à CVG, en précisant à chaque fois sa pleine et entière confiance en la Sonic Team qu'il a formé. Pour autant, Sonic 4 représente-il bel et bien les possibilités que semble entrevoir Naka pour un nouveau Sonic en 2D ? Il n'en dit rien mais c'est fait exprès, je vous vois déjà bouillir à l'évocation de ce fantasme défendu, qu'en magicien du plaisir Naka refroidit illico en rappelant que jamais, plus jamais il ne fera à nouveau un Sonic, même si Sega le lui demandait. Après tout, il est parti créer Prope pour élever la nouvelle génération de talents japonais, celle-là même qui lui a inspiré l'idée derrière Ivy The Kiwi. Et qui pourrait lui inspirer un Sonic-killer ! Une perspective à vous rendre fébriles, pantelants même, d'autant plus que Naka insiste à chaque occasion vouloir éviter de se reposer sur ses licences et créer des jeux d'action centrés sur leurs personnages principaux et un concept de gameplay simple, comme Ivy... et comme Sonic - cette fois-ci, Naka le dit clairement, à Critical Gamer mais aussi à Nintendo World Report, où il ajoute carrément qu'il a crée Ivy pour s'élever au niveau de Sonic et Nights. Alors là c'est l'extase, l'excitation est à son comble, comment pourrait-elle grimper plus haut ?
Peut-être en retwittant la vidéo d'un fangame Sonic ? Non faut pas déconner non plus, Naka twitte sur n'importe quel goodies estampillé Sonic. Et en plus ce fangame, honnêtement, il est pas un peu dégueu ? Ah mince, vous voilà tout raplapla d'un coup.
Mais hé, Naka ne refera plus jamais de Sonic, pas vrai ? Alors ne soyez pas rancuniers et allez lire quelques autres interviews pour tenter de vous convaincre d'adopter le charmant kiwi, chez Blue Hero Gaming par exemple. Parce que souvenez-vous : si vous répondez à l'appel du papa de Sonic, ce dernier saura se montrer reconnaissant et vous fera la Dreamcast 2 ! Rhaaah lovely ! décidément, Naka c'est plus fort que toi.